9 ÉTAPES POUR CHANGER

VOTRE ÉTAT D’ÊTRE RAPIDEMENT !

 

 

« Jamais je ne vais m’en sortir !!! »

Vous êtes dans un état d’être négatif, et vous avez de la difficulté à vous en sortir. Tout semble plus difficile,

vous avez même l’impression d’en perdre vos moyens. Vous vous sentez mal !

Vous aimeriez vous en sortir rapidement, n’est-ce pas ?

Par contre, quand vous vous sentez mal, dans cet état d’être négatif, y a-t-il vraiment une façon pour vous en sortir rapidement ?

Petite mise en garde :

Avant de commencer, j’aime mieux vous le dire maintenant… Je me suis complètement laissé aller… Le résultat, l’article est plus long que d’habitude… Pour ma défense, même si je n’ai pas à me défendre, et en me fiant aux résultats des clients… Prenez le 3 ou 4 minutes de plus, et vous allez en bénéficier pleinement…

 

La tornade

La très grande majorité du temps, je suis quelqu’un d’optimiste. Quand les choses ne tournent pas rond, je suis plutôt en mode solution et action.

Par contre, il y a de ces fois…

C’est comme si j’étais aspiré par une spirale qui m’amène dans un vortex qui me tire vers le bas et c’est vraiment comme cela que je le perçois !

Quand je vis cet enfer, c’est le négatif qui prend le contrôle de ma vie… Rien ne va plus… Je peux y rester coincé pendants des heures… et même des jours… jusqu’à ce que………

Par contre, je dois avouer que c’est nettement mieux qu’avant parce que je pouvais y rester pendant des mois… Tout comme un otage, maintenu prisonnier d’un trou noir de négatifs par la puissance de ce vortex…

À cette époque, je n’avais qu’une seule idée :

Tout faire pour me sortir de ce vortex de négatifs !

Et savez-vous quoi ?

Plus j’essayais de m’en sortir, plus j’étais aspiré profondément par le vortex dans ce trou noir…

C’est dans ce piteux état que j’ai fait mes plus spectaculaires et pires erreurs de jugement et d’interprétation. Trop obstiné à vouloir m’en sortir à n’importe quel prix, j’ai pris des décisions coûteuses… très coûteuses… monétairement… émotionnellement… mentalement… et physiquement…

Je suis même tombé tellement bas que j’ai eu à me reconstruire… puisque ruiné financièrement et complètement brûlé autant au niveau physique qu’au niveau émotionnel et mental…

En fait, ce fut une perte totale de maîtrise sur ma vie !!!

La même question tournait continuellement en boucle, de façon obsessionnelle :

Comment m’en sortir ?

À constamment se rabaisser :

Faut-il être assez stupide pour en arriver à ce point… un vrai looser… un trou de cul qui ne mérite pas de vivre…

Avec cette perpétuelle impression d’échouer :

Peu importe ce que je fais, c’est toujours la même chose… L’échec total !

Pour en arriver au désespoir :

Jamais je ne vais m’en sortir !!!

Curieusement je m’en suis sorti une fois… puis une deuxième fois… et même une troisième fois…

Tellement qu’à un moment, j’ai réalisé qu’on s’en sort toujours !

Comment ?

Excellente question !

Comment savoir ce qui a été fait pour s’en sortir quand on a l’impression que jamais on ne va s’en sortir ?

Toute une question ! J’avais beau me la poser régulièrement, je n’avais aucune idée de comment j’avais fait… et ce que quoi j’avais fait… dans le comment que je l’ai fait pour m’en sortir.

Aujourd’hui, j’ai enfin compris ! C’est peut-être l’avantage d’avancer en âge, qui sait ? Les expériences de la vie nous amènent à faire des apprentissages, et à percevoir les épreuves comme des opportunités de grandir… d’évoluer… et pour certains, de se transcender… seulement dans la mesure de vraiment les percevoir comme des opportunités d’apprentissage, n’est-ce pas ?

 

Il était une fois…

J’ai développé ma propre façon de maintenant « sortir » rapidement de cet état négatif et j’aimerais la partager avec vous !

Aimeriez-vous le savoir ? J’imagine que oui puisque vous lisez cet article, n’est-ce pas ?

Mais avant, laissez-moi vous raconter un « il était une fois… »

Pas n’importe lequel « il était une fois… », mais une vraie fois… dans mon bureau…

Alors, il était une vraie fois, dans mon bureau…. Par une belle tempête de neige… d’un vent glacial à faire fuir les pingouins les plus braves… en plein mois de février… il y a plusieurs années de cela…

 

Une cliente arrive pour sa première rencontre. Je la reçois en lui demandant :

Quel bon vent vous amène ?

La question la fait sourire et elle me répond :

J’ai été diagnostiquée d’un cancer et il me restait trois mois à vivre.

Alors, j’ai répondu :

Il vous reste trois mois à vivre ?

Elle me répond :

Non, cela fait maintenant quatre ans qu’on m’a appris que je souffrais d’un cancer.

Elle avait parlé de son cancer au passé et non au présent : «J’ai été» et «il me restait».

C’est alors que je fais une autre erreur en interprétant la raison de la rencontre quand je lui demande :

Vous avez été en rémission pendant quatre ans et le cancer est revenu…?

Et elle me répond :

Non, c’est comme si je n’ai jamais eu de cancer, il n’en reste aucune trace.

Non seulement je n’avais pas remarqué qu’elle avait parlé au passé, mais en plus, j’ai supposé avec erreur la raison de sa visite. Deux erreurs fondamentales en moins de deux minutes… Par chance, la cliente a ramené le tout dans le bon sens…

Je ne sais pas si vous êtes comme moi, quand quelqu’un me dit que suite à un diagnostic qu’il reste trois mois à vivre et que, quatre ans plus tard, elle est encore vivante et qu’il ne reste aucune trace de la maladie, alors je deviens curieux. La question qui a suivi a complètement changé ma façon de faire de la thérapie. Je lui ai tout simplement demandé :

Comment vous avez fait cela ?

Il y a aussi une chose que cette femme a mentionnée… Et elle l’a mentionnée au moins trois fois :

Le cancer a été une bénédiction pour moi !

La première fois qu’elle l’a mentionnée, les poils sur mes bras se sont raidis, et un courant électrique m’est passé tout le long de la colonne vertébrale… Elle l’a dit avec une telle intensité et un tel regard…

Elle a commencé par me dire que le cancer est apparu neuf mois après que le dernier de ses trois enfants soit parti de la maison. Je n’ai pu m’empêcher de lui répondre :

Ha ! Vous avez accouché d’un cancer…

Elle a ri et a mentionné que c’était un peu cela. Quand le médecin lui a annoncé qu’elle avait le cancer et qu’il ne lui restait que trois mois à vivre, sa première réaction fut le déni total. Elle croyait que le médecin avait fait une erreur et qu’il avait pris les feuilles d’une autre patiente pour les déposer dans son dossier, par erreur. Elle était convaincue que c’était une autre femme qui avait ce cancer et non elle.

Elle était tellement convaincue que le médecin avait fait une erreur, qu’elle avait commencé des démarches pour poursuivre le médecin et l’hôpital de cette erreur. Ces journées étaient passées à se battre et à se débattre pour se défendre ainsi que de trouver des stratégies pour déjouer l’hôpital. Elle avait même engagé un avocat.

Et après cinq semaines à se battre et à se débattre, l’avocat est venu la voir pour lui dire qu’elle avait vraiment le cancer, qu’il se retirait du dossier, mais qu’il ne lui chargeait aucun des frais encourus. Elle a accusé l’avocat de se faire acheter par l’hôpital et a déclaré qu’elle était pour continuer à se battre et à se débattre par elle-même.

Quelques jours plus tard, en s’assoyant sur son fauteuil préféré, fatiguée de toute l’anxiété de la colère, de la peine et du marchandage, elle s’est dit :

Il ne me reste maintenant que deux mois à vivre !

Je n’ai aucune idée comment ça c’est passé, et si le fait que l’avocat qui s’était retiré de la cause a eu un impact… mais elle avait finalement accepté qu’il ne lui restait que deux mois à vivre. Enfin, elle avait vraiment fait l’acceptation du cancer…

C’est à ce moment précis qu’elle a juste fermé les yeux… Et avec l’attention concentrée sur le cancer… Alors, l’étincelle de la magie a commencé… Elle a commencé à revoir sa vie…

En fait, ce processus de revoir sa vie n’a pas été comme ils disent dans les films, qu’ils ont revu leur vie en une fraction de seconde, non… cela a duré plusieurs heures… Et pour elle ça s’est fait en deux étapes.

La première étape, c’est à partir du moment où elle a rencontré l’homme qui est devenu son mari. C’était à l’adolescence, elle avait 17 ans. Elle a revu sa vie de façon séquentielle : la rencontre de son mari, le mariage, les enfants, etc. Elle s’est rendue compte que sa vie, elle la vivait pour les autres ; en premier pour ses enfants, ensuite son conjoint, après la famille et la belle-famille, les amies, le bénévolat… C’était toujours les autres avant elle. Comme conclusion elle s’est dit :

Je n’ai jamais vécu ma vie pour moi !

Alors instantanément, elle se revoit à huit ans, lorsque sa mère accouche d’un quatrième enfant. Et à huit ans, puisqu’elle est l’aînée de la famille et que c’est une fille, elle accomplit ce que j’appelle des tâches de mère. Sa mère lui demande de l’aider. En même temps, elle a l’impression que sa mère n’est jamais satisfaite de ce qu’elle fait. Elle croit qu’elle ne l’aime pas. Et elle veut tellement se faire aimer et se faire reconnaître de sa mère… Et pour se faire aimer et reconnaître de sa mère, elle trouve comme solution de toujours lui dire «oui» et faire à la perfection les tâches qui lui sont demandées. Et peut-être ainsi sa mère va finalement l’aimer et la reconnaître…

Et toute sa vie, elle a dit «oui», pour ne pas dire «non», dans le seul espoir de finalement se faire aimer, et de finalement être reconnue, et de finalement être en sécurité…

Pour elle, ensuite, arrive l’adolescence. Sa mère a eu deux autres enfants. Elle me dit alors :

Vous savez monsieur, je n’ai jamais connu l’adolescence. En fait, toute mon adolescence, je l’ai vécu à bien performer, et à être la petite fille sage… Quand la cloche de l’école sonnait, je courais à la maison pour faire le souper. Après le souper, il fallait ramasser la table. Un peu tout le monde aidait. Alors venait le temps des devoirs. Mes parents n’étaient pas très éduqués. Rendus à la troisième année, ils commençaient à être dépassés par les devoirs. Étant donné que j’étais la plus vieille, que j’étais bonne à l’école, et que j’étais déjà passée par là, alors c’est moi qui aidais les plus jeunes avec leurs devoirs. Ensuite venait le temps du dodo. J’aidais ma mère. C’est seulement après tout cela que je commençais mes devoirs. Parfois, je pouvais me coucher à une heure du matin pour recommencer le lendemain matin. Donc l’adolescence avec les sorties, la gang d’amies et les partys, je n’ai pas connu cela. Et un beau jour, cet homme, qui est maintenant mon mari, m’a sortie de cet enfer.

Après avoir revu cette partie de sa vie, elle s’est dit :

Je n’ai vraiment pas vécu ma vie pour moi !

C’est à cet instant qu’elle a pris la décision que pour les deux mois qu’il lui restait à vivre, elle était pour les vivre pour elle. C’est à ce même instant qu’elle a voulu faire quelque chose de différent dans sa vie. Elle ne s’est pas dite qu’elle allait guérir du cancer. Non, même pas… Elle a simplement décidé de vivre sa vie autrement, de vivre sa vie pour elle…

Et je lui ai posé la question :

Comment avez-vous ait cela, vivre votre vie pour vous-même ?

Elle a répondu :

La solution a été facile… mais m’a demandé tellement d’effort… j’ai simplement eu à dire non.

Évidemment, je lui demande :

Et comment vous avez fait cela, dire non ?

Elle a répondu :

C’est ce qui m’a demandé le plus d’effort. Je commençais par me poser la question si je voulais vraiment aller à cet endroit, ou si je voulais vraiment être avec telle ou telle personne, ou si j’avais vraiment le goût de faire telle ou telle chose, toujours en mettant beaucoup d’emphase sur le «vraiment» et en étant vraiment honnête, sincère et authentique avec moi-même.

Si la réponse était «oui», alors j’y allais ou je le faisais, c’est tout. Si la réponse était non, c’est là que l’effort, du moins au début, était énorme. Pour dire non, je me justifiais énormément. Je disais beaucoup de «C’est pas que», ou de «C’est parce que si et cela», ou «Je ne voudrais pas que vous pensiez que». Il y a eu des journées, au cours de la période de onze mois avant que le cancer ne disparaisse complètement, où j’étais tellement épuisée, que je n’avais même pas la force de justifier. Alors je disais «Non» ! Et vous savez quoi, la très grande majorité du temps, les autres ne me demandaient pas de me justifier. J’ai donc commencé à dire tout simplement «Non», et même quand j’étais plus en forme.»

Elle a enchaîné en disant :

Et vous savez quoi, c’est à ce moment que les autres ont commencé à me respecter.

Elle a gardé quelques secondes de silence, et en même temps, je me disais qu’elle n’avait peut-être pas tout bien saisi, et que cela n’avait aucune importance puisque le cancer était disparu…

Alors, elle s’est approchée de moi en disant :

Vous savez quoi, ce ne sont pas les autres qui ont commencé à me respecter, mais plutôt moi qui ai commencé à me respecter !

Finalement, elle avait bien saisi. C’est elle qui avait commencé à se respecter en appliquant sa solution de dire «Non».

Elle a ensuite mentionné que suite à tout cela, certaines personnes s’étaient éloignées d’elle parce que celles-ci profitaient du fait qu’elle avait de la difficulté à dire «Non». Ces personnes sont parties d’elles-mêmes. Pour ce qui est de la relation avec son conjoint, elle s’était grandement enrichie ainsi que celle avec ses enfants. Les relations avec la famille et la belle-famille, ainsi que celles avec ses amies s’étaient également enrichies de beaucoup. Mais la relation qui s’était le plus enrichie était la relation qu’elle avait avec elle-même…

Finalement, après onze mois, le cancer avait disparu… Alors j’ai compris pourquoi le cancer a été la plus belle bénédiction de sa vie…

 

L’étincelle de magie

Cette femme a fait un processus thérapeutique complet et en profondeur par elle-même, sans même aller voir un thérapeute… Et ce qu’elle m’a permis d’apprendre, c’est que non seulement on a toutes les ressources et les forces à l’intérieur de nous-mêmes pour régler tout ce qu’il y a à régler… Mais en plus on a aussi tous les outils à l’intérieur de nous pour régler tout ce qu’il y a à régler…

Pour les personnes qui veulent savoir la raison de sa visite, c’est qu’elle commençait à avoir de la difficulté à gérer le temps. Elle avait recommencé une vie active en s’impliquant de plus en plus à faire du bénévolat dans certains organismes. Je lui ai alors demandé quelle était sa question magique. Elle ne saisissait pas ce que je lui avais demandé et je lui ai répété :

Madame, quelle est la question magique qui vous a vraiment permis de vous guérir du cancer ?

Elle a répondu :

Ha oui ! Le est-ce que je veux vraiment….. Ouf ! Je l’avais presque oubliée celle-là.

Des fois, savoir dire non devient une question de vie ou de mort…

J’ai la chance, en tant que thérapeute, de pouvoir faire l’expérience d’une relation en profondeur avec une personne. À ce moment, j’ai le privilège de les entendre exprimer leur chemin de vie, leurs émotions, leurs peurs et leur désespoir… tout comme leurs espoirs et leurs rêves de bonheur… Et de les accompagner dans une résurrection de leur être…

Et pour moi, chacune des rencontres avec eux, comme cette rencontre avec cette femme, sont des moments sacrés… Ce sont eux mes maîtres et moi l’apprenti qui fait des apprentissages dans leur sagesse, dans leur moment d’étincelle de magie et dans leur moment de résurrection.

Quel privilège d’être présent à ces moments d’étincelles de magie… Quel privilège d’être présent au moment de la résurrection de leur être… C’est tout un privilège et j’en suis tellement reconnaissant de pouvoir vivre ces moments.

De pouvoir vivre ces moments précieux avec eux, j’ai remarqué qu’il y a un processus naturel pour transcender les états négatifs.

 

Les 9 étapes de ce processus naturel

C’est par ce processus naturel que je m’en suis sorti une première fois, puis une deuxième, et même la troisième fois sans même savoir comment j’ai fait le « quoi à faire » pour s’en sortir…

C’est ce même processus que les clients expérimentent pour sortir de leurs états négatifs. Et c’est ce même processus que vous avez utilisé pour vous en sortir à toute les fois que vous vous en êtes sorti… sans même savoir ce que vous avez fait ni comment vous les avez faits pour vous en sortir…

C’est un processus naturel, inscrit dans l’ADN de chacun des humains sur la planète. Et c’est un processus naturel que vous pouvez activer consciemment.

Vous voulez savoir comment l’activer consciemment ?

Alors, voici les 9 étapes pour activer consciemment ce processus naturel

 

Oups ! J’oubliais… Avant de vous énumérer les étapes, vous devez savoir sur quel principe essentiel se pose ce processus :

La solution est dans le problème !

 

En psychologie, il n’y a rien de plus vrai. Qu’est-ce que vous pensez que cette femme a fait avec son cancer ? Elle a naturellement activé ce principe. Le problème est une opportunité de régler tout ce qu’il y a à régler, en lien avec sa présence. Le problème est le véhicule qui vous enseigne quoi et comment faire pour vous en libérer.

J’ai développé ce processus suite à le rencontre avec cette femme. J’ai appelé ce processus Reconnaître et Confirmer. Allons-y avec les 9 étapes :

 

Étape 1 – Représentation mentale de l’état d’être négatif

Vous concentrez l’attention là où vous ressentez le plus, à l’intérieur de vous, cet état d’être négatif…

Ensuite, vous le représentez en lui donnant une forme… une couleur… une texture…

Pour le restant des étapes, vous continuez de concentrer votre attention où vous le ressentez le plus, à l’intérieur de vous, cet état d’être négatif… et la forme que vous lui avez donnée…

 

Étape 2 – Merci d’être là

Maintenant, vous lui dites :

Merci d’être là…

Vous lui dites « Merci d’être là » parce que :

Si c’est là, il y a une raison d’être là… il a une intention positive… un message…

C’est une partie de vous, ça fait partie de vous…

Ça fait partie de votre histoire… si cette partie raconte son histoire, c’est une partie de votre histoire qu’elle va raconter…

C’est porteur de la solution…

C’est une opportunité de finalement régler tout ce qu’il y a à régler en lien avec…

 

Étape 3 – Accueillir en ami

Alors maintenant de l’accueillir… Et de l’accueillir comme quand on accueille un ami que ça fait longtemps que vous n’avez pas vu… Et vous l’accueillez à grands bras ouverts…

 

Étape 4 – Reconnaître et confirmer

Alors maintenant de lui dire :

Je reconnais vraiment et je confirme vraiment que tu es là…

C’est comme quand vous étiez enfant. Vous aviez besoin d’amour, de reconnaissance, et de sécurité… pour confirmer que vous existez…

En y pensant bien, la majorité des adultes sont restés enfants…

Et c’est plus que ça encore… d’être reconnu confirme que vous avez la permission et que vous méritez d’exister…

Alors, c’est la même chose pour cet état d’être négatif, tout comme un enfant… De lui dire « Je reconnais et je confirme que tu es là », c’est de lui dire : Je te vois… Je t’entends… Je t’écoute… Tu es important pour moi… Tu existes… Je t’accepte comme tu es… et plus encore…

Et c’est plus que ça encore… d’être reconnu confirme que vous avez la permission et que vous méritez d’exister…

 

Étape 5 – Accepter

Alors maintenant, de lui dire :

J’accepte vraiment que tu sois là…

Et de l’accepter comme vous avez déjà vraiment accepté quelque chose dans ta vie… à votre façon, et à votre rythme…

Et de l’accepter, pour les mêmes raisons de lui avoir dit : Merci d’être là…

 

Étape 6 – Pardonne-moi

Alors maintenant de lui dire :

Je suis tellement désolé… pardonne-moi s’il vous plait… d’avoir évité de t’accueillir… de t’accepter… et de t’écouter…

 

Étape 7 – Je me pardonne

Alors maintenant de vous dire, intensément à l’intérieur de vous :

Je me pardonne.…d’avoir évité de l’accueillir… et de l’accepter… et de l’écouter…

 

Étape 8 – C’est quoi le message qui est si important pour moi ?

Et maintenant vous lui demandez :

Qu’est-ce que tu veux me dire qui est si important pour moi ?

Et d’attendre la réponse…. La réponse peut être sous forme d’image, ou de symbole…. Ou peut-être un mot ou une phrase… Ou peut-être même sous forme de sensation, ou d’un souvenir…

La réponse peut arriver instantanément… ou dans un instant… ou même plus tard… L’important est de poser la question.

Et de laisser l’inconscient, d’amener au conscient, ce que le conscient a besoin de savoir de l’inconscient…

 

Étape 9 – Plonger en plein cœur du problème

Toujours en continuant de concentrer l’attention au même endroit… alors vous plongez en plein cœur de la forme que vous avez donnée à cet état d’être négatif… comme de plonger en plein cœur d’un ouragan… L’endroit le plus calme et le plus sécuritaire d’un ouragan est en plein cœur de celui-ci…

Alors d’y plonger… en plein cœur de cette forme, pour être à l’endroit le plus calme, et le plus sécuritaire

Et c’est à cet endroit que vous allez y faire les apprentissages pour un état d’être positif et agréable, en pleine confiance…

 

 

Commencez à l’appliquer…

Soyez curieux… Et remarquez en quoi c’est différent dans votre vie !

Commencez à l’appliquer… Soyez curieux… Et remarquez la différence que ça fait au niveau de l’image que vous avez de vous-même… de votre niveau de confiance… de votre certitude… et de votre propre estime !

 

 

J’ai maintenant trois questions pour vous :

Je me demande en quoi cet article a été maintenant utile pour vous ?

 

De quelle façon vous allez en bénéficier pour que vous puissiez commencer… maintenant… à être plus confiant qui est certitude ?

 

Qu’est-ce que vous allez maintenant commencer à appliquer, dès maintenant… pour activer ce processus naturel ?

 

P.S. – Vous pouvez me le faire savoir en laissant un commentaire au bas de cet article.

P.S.S. – Si vous aimez cet article, partagez-le avec vos amis et amies !!!

 

 

Michel Gagné

 

 

© Michel Gagné et T.O.P.P. Confiance et Estime de soi – 2016